La taxe de mise en circulation des véhicules électriques en Belgique en 2025

La taxe de mise en circulation (TMC) est un impôt unique dû lors de la première immatriculation d’un véhicule en Belgique. Chaque région – Flandre, Wallonie et Bruxelles-Capitale – applique ses propres règles et barèmes en 2025, avec des montants et exemptions spécifiques pour les véhicules électriques (VE). Nous passons en revue la situation dans chaque région, en abordant les montants applicables, les exonérations, les réformes prévues (notamment en Wallonie dès juillet 2025), les particularités selon le type de véhicule (voiture particulière, utilitaire, etc.), les dispositions pour les familles nombreuses ou autres publics spécifiques, ainsi que les modalités pratiques de paiement de la TMC.

En région flamande (Flandre)

Exonération actuelle et fin programmée en 2025

En Flandre, les propriétaires de voitures 100 % électriques bénéficient d’une exonération totale de TMC depuis 2012. Autrement dit, jusqu’en 2024, aucune taxe de mise en circulation n’est payée lors de l’immatriculation d’un véhicule électrique en région flamande. Cette mesure incitative a contribué à stimuler l’adoption des véhicules électriques, en complément de l’exemption de la taxe annuelle de circulation dont ces véhicules profitent également.

À partir de 2025, le gouvernement flamand a prévu de mettre fin à cette exonération. Cette décision s’explique par des motifs budgétaires : avec la hausse du nombre de VE, la région observe un manque à gagner important (la suppression de la TMC sur les VE aurait réduit les recettes régionales de plusieurs dizaines de millions d’euros ces dernières années). Le principe retenu est de réintroduire une TMC pour les nouvelles immatriculations de voitures électriques, tout en maintenant un avantage par rapport aux véhicules thermiques équivalents. En pratique, cela signifie que les futurs montants de TMC flamands pour les VE devraient rester inférieurs à ceux des voitures essence/diesel de puissance ou de gabarit comparable, possiblement via un calcul modulé selon des critères comme le poids du véhicule ou sa puissance. Un véhicule électrique lourd et puissant pourrait ainsi payer davantage qu’une petite citadine électrique, afin de tenir compte de l’usure accrue des routes causée par les modèles plus lourds.

Mise en œuvre et conditions particulières en Flandre

Au début 2025, la nouvelle taxation n’est pas encore d’application effective, car l’élaboration de la formule précise et la coordination avec les autres régions prennent du retard. En conséquence, les voitures électriques immatriculées en Flandre début 2025 restent temporairement exonérées de TMC, dans l’attente de l’entrée en vigueur de la réforme plus tard dans l’année (éventuellement reportée). Il est d’ores et déjà acquis que la mesure ne sera pas rétroactive : un particulier flamand ayant immatriculé son VE avant le changement conservera le bénéfice de l’exonération pour ce véhicule.

En ce qui concerne les types de véhicules, la Flandre ne fait pas de distinction particulière pour les voitures particulières électriques : toutes étaient exonérées jusqu’ici et seront soumises à la nouvelle TMC une fois la réforme en place (uniquement pour les nouvelles immatriculations de véhicules zéro émission). Les utilitaires légers électriques (par exemple une camionnette électrique jusqu’à 3,5 tonnes) bénéficient aussi de l’exemption de TMC tant qu’elle est en vigueur, au même titre que les voitures particulières. Il n’existe pas de régime de réduction spécifique pour les familles nombreuses en Flandre sur la TMC, et aucune exonération particulière liée à ce statut familial n’est prévue dans la nouvelle réglementation annoncée. Enfin, notons que les personnes handicapées disposant des attestations requises peuvent être exonérées de la TMC en Flandre, comme dans les autres régions, conformément aux dispositions générales applicables aux véhicules adaptés ou à l’usage des personnes à mobilité réduite.

À savoir : la Flandre avait également institué une prime à l’achat pour les véhicules électriques neufs ou d’occasion (jusqu’à 5 000 € pour une voiture neuve répondant à certains critères), mais cette prime a pris fin au 31 décembre 2024. Dorénavant, l’accent budgétaire est mis sur d’autres incitants (réseau de recharge, etc.) plutôt que sur l’exonération fiscale totale des VE.

En région wallonne (Wallonie)

Avant juillet 2025 : TMC minimale pour les électriques

Jusqu’à la mi-2025, la Wallonie appliquait un système traditionnel de TMC, identique à celui de Bruxelles, basé sur la puissance (chevaux fiscaux) et la cylindrée du moteur. Dans ce cadre, les voitures entièrement électriques étaient traitées très favorablement : la réglementation les faisait systématiquement tomber dans la catégorie la plus basse de taxe. Concrètement, immatriculer un véhicule électrique en Wallonie avant juillet 2025 coûtait seulement 61,50 € (montant forfaitaire minimal classique). Ce tarif plancher n’était pas affecté par le poids élevé ou la puissance souvent importante des modèles électriques – un SUV électrique de plus de deux tonnes payait ainsi le même montant symbolique qu’une microcitadine. De plus, la Wallonie appliquait une réduction de 100 € sur la TMC pour les familles nombreuses (ménages avec au moins 3 enfants à charge) depuis plusieurs années. En pratique, cependant, comme la TMC d’un véhicule électrique était déjà très basse (61,50 €), cette réduction pouvait rendre la taxe quasi nulle pour les familles nombreuses achetant un VE (la réduction ne pouvant évidemment pas conduire à un montant négatif, la taxe était simplement ramenée à 0 € dans ces cas). À noter que les véhicules utilitaires légers (par exemple une fourgonnette) ne payaient aucune TMC en Wallonie lorsqu’ils étaient utilisés à titre professionnel (numéro d’entreprise à l’appui) – ils relevaient alors du régime fiscal des utilitaires avec uniquement une taxe annuelle au poids. En revanche, si une camionnette était achetée pour un usage privé et immatriculée comme véhicule de tourisme, elle était soumise à la TMC normale (donc minime si électrique).

À partir du 1er juillet 2025 : nouvelle formule et montants variables

Le 1er juillet 2025, une réforme majeure de la fiscalité automobile entre en vigueur en Wallonie, modifiant en profondeur le calcul de la TMC. L’ancien barème obsolète est abandonné au profit d’une formule modernisée tenant compte de plusieurs paramètres : la puissance du moteur (exprimée en kW), les émissions de CO₂ du véhicule, sa masse maximale autorisée, ainsi que le type de carburant/énergie. La taxe devient ainsi proportionnelle à ces caractéristiques, tout en conservant un mécanisme dégressif pour l’âge du véhicule (la TMC diminue pour les véhicules d’occasion plus anciens, par exemple d’environ 10 % par année durant les 5 premières années). Par ailleurs, l’éco-malus continue de s’appliquer pour les véhicules très émetteurs de CO₂ (au-delà de 145 g/km), mais ce point ne concerne pas les véhicules électriques qui n’émettent aucun CO₂ en usage.

Dans le nouveau calcul wallon, les véhicules électriques ne sont plus tous logés à la même enseigne minimale : la taxe due dépend désormais de leurs spécifications. Cependant, un coefficient favorable est accordé aux motorisations électriques afin de ne pas trop pénaliser la transition écologique. En pratique, ce coefficient énergie réduit considérablement la TMC des voitures zéro émission par rapport à un véhicule thermique de poids et puissance équivalents. Il varie tout de même en fonction de la puissance du véhicule électrique : les modèles très puissants ont un coefficient un peu moins avantageux que les modèles de puissance modérée. Par exemple, un véhicule électrique d’environ 150 kW subira un coefficient réduit (par exemple 0,18) alors qu’un modèle modeste de moins de 120 kW bénéficiera d’un coefficient encore plus bas (0,09), rendant la taxe proportionnellement plus douce pour les petits modèles.

Quel impact sur le montant à payer ? Globalement, la TMC des voitures électriques en Wallonie augmente après juillet 2025 par rapport à l’ancien forfait 61,50 €, mais elle reste modérée pour les modèles familiaux courants et très basse pour les petites voitures. Voici quelques estimations avec la nouvelle grille :

  • Petite citadine électrique (puissance modeste, poids réduit)Environ 50 € de TMC seulement. Les plus petites voitures urbaines 100% électriques voient leur taxe plafonnée à un niveau symbolique (exemple : la future Renault 5 électrique ou une citadine équivalente ne paierait que 50 €).
  • Voiture électrique familiale type SUV milieu de gamme – De l’ordre de 300 à 600 € de TMC. Par exemple, un modèle comme la Volkswagen ID.4 (SUV électrique familial) devait s’acquitter d’environ 601 € de TMC avec la formule initialement prévue, mais le gouvernement a décidé d’alléger légèrement la note : après ajustement du coefficient en faveur de l’électrique, la TMC pour ce type de véhicule redescend aux alentours de 334 €. On reste bien sûr très au-dessus des 61,50 € d’avant réforme, mais le montant demeure raisonnable en comparaison des voitures thermiques de puissance équivalente.
  • Grand SUV ou véhicule de luxe électrique (très puissant et lourd) – Potentiellement plus de 1 900 € de TMC. Les modèles haut de gamme, par exemple un Tesla Model X Performance ou certaines berlines électriques de luxe, ne bénéficient pas de la réduction de coefficient appliquée aux catégories inférieures. Leur TMC peut donc avoisiner ou dépasser les 2 000 € selon les cas (dans l’exemple du Tesla Model X, on parle d’environ 1 943 € de taxe). Cela reste néanmoins un cas extrême, concernant les véhicules les plus onéreux, et ce niveau de taxation est comparable à celui qu’aurait une grosse voiture sportive thermique.

Parallèlement à cette refonte, la Wallonie a augmenté les réductions accordées aux publics spécifiques. Dès le 1er juillet 2025, la réduction pour les familles nombreuses passe à 250 € (contre 100 € auparavant). Cette réduction est applicable sur la TMC d’un véhicule par ménage, pour les foyers comptant trois enfants ou plus à charge. Elle s’applique quels que soient le type de véhicule (électrique ou non) et qu’il soit neuf ou d’occasion, ce qui signifie qu’une famille nombreuse qui achète un véhicule électrique en Wallonie après juillet 2025 verra sa taxe de mise en circulation réduite de 250 € par rapport au calcul normal. Dans de nombreux cas, cela annulera purement et simplement la TMC à payer (par exemple, une famille de 3 enfants qui immatricule une petite voiture électrique neuve, avec une TMC calculée à 50 €, ne paiera rien grâce à la réduction de 250 € couvrant largement le montant dû). Pour les véhicules plus imposants, la réduction vient en déduction de la taxe : un foyer avec 3 enfants immatriculant un SUV électrique qui aurait 334 € de TMC n’aura plus que 84 € à payer après réduction.

La Wallonie introduit également, à partir de 2026, une réduction similaire de 250 € pour les familles monoparentales sous certaines conditions (cette mesure entrera en vigueur un an plus tard pour des raisons techniques). Précision importante : les réductions « famille nombreuse » et « famille monoparentale » ne sont pas cumulables entre elles, et une seule voiture par ménage peut en bénéficier. En dehors des familles, rappelons que les personnes en situation de handicap peuvent également prétendre à une exonération de la TMC en Wallonie, à condition de répondre aux critères légaux (par exemple, détenir une carte handicapé spécifique ouvrant droit à l’exemption des taxes de circulation).

Enfin, notons que la réforme wallonne de juillet 2025 n’affecte pas la fiscalité des motos et cyclomoteurs de la même manière. Une nouveauté toutefois pour les deux-roues électriques : la TMC des motos électriques est désormais fixée à 50 € (abaissée par rapport au minimum de 61,50 € qui s’appliquait précédemment). Les motos à moteur thermique conservent quant à elles le barème inchangé hérité de l’ancien système, avec un minimum également réduit à 50 €. Les véhicules oldtimers (véhicules de plus de 30 ans, de collection) conservent de leur côté un régime spécial inchangé : en Wallonie, comme ailleurs, immatriculer un véhicule ancien de plus de 30 ans engendre une TMC forfaitaire de 61,50 €, ce qui reste anecdotique.

En région de Bruxelles-Capitale

TMC actuelle et absence de réforme majeure en 2025

La Région de Bruxelles-Capitale applique en 2025 une TMC calquée sur l’ancien système identique à la Wallonie (puissance fiscale et cylindrée). À la différence près que Bruxelles a procédé récemment à une indexation de ses montants de taxe. En effet, les tarifs bruxellois étaient restés inchangés depuis des décennies (ils correspondaient encore aux montants fixés en francs belges avant 2002, convertis de façon un peu irrégulière en euros – d’où des montants atypiques comme 61,50 €, 123,95 €, etc.). Pour rattraper partiellement l’inflation, Bruxelles a indexé la TMC de +20,79 % au 1er juillet 2024 et prévoit d’indexer désormais les montants chaque année.

Malgré cette hausse, la TMC sur les véhicules électriques demeure très faible à Bruxelles en 2025. Le tarif pour une voiture 100 % électrique neuve reste fixé au minimum du barème, qui après indexation s’établit à 74,29 € (au lieu de 61,50 € auparavant). Ainsi, immatriculer un véhicule électrique dans la capitale coûte moins de 75 € de taxe, que ce soit une petite citadine ou un grand modèle (le système bruxellois n’ayant pas encore intégré de modulation écologique comme en Wallonie). Aucune éco-malus n’est appliquée sur les voitures électriques (puisqu’elles n’émettent pas de CO₂), et les réductions pour vétusté continuent de s’appliquer pour les véhicules d’occasion (décote d’environ 10 % du montant par année d’ancienneté, ce qui, pour une voiture électrique de deux ans par exemple, ramène la TMC à environ 80 % de 74,29 €).

Exonérations et particularités bruxelloises

Bruxelles-Capitale ne prévoit pas de réduction spécifique pour les familles nombreuses sur la TMC, à la différence de la Wallonie. Un ménage bruxellois avec trois enfants ou plus ne bénéficie d’aucun abattement particulier sur la taxe de mise en circulation (la législation bruxelloise n’a pas introduit de mesure équivalente). En revanche, les personnes handicapées remplissant les conditions (telles que définies par la réglementation fédérale et régionale) peuvent obtenir, tout comme en Wallonie et en Flandre, une exonération de la TMC pour un véhicule adapté ou utilisé à leur bénéfice. Cette mesure relève de considérations sociales plutôt que de la politique environnementale, et demeure assez marginale en nombre de bénéficiaires.

Pour les véhicules utilitaires : la Région bruxelloise suit également le régime général applicable à ce type de véhicule. Les camionnettes, véhicules utilitaires légers et autres véhicules destinés au transport de marchandises ne sont pas soumis à la TMC à Bruxelles (tout comme en Flandre et en Wallonie, sous réserve en Wallonie de l’usage professionnel). À Bruxelles, la taxe annuelle de circulation pour ces utilitaires est calculée en fonction du poids, mais aucune taxe de mise en circulation n’est perçue lors de leur immatriculation, que le véhicule soit électrique ou à moteur thermique.

Enfin, il convient de signaler un aspect particulier concernant les voitures en leasing. Pour éviter des écarts de traitement fiscal entre régions, les sociétés de leasing immatriculant des véhicules appliquent le régime de la Région de Bruxelles-Capitale pour la TMC. Ainsi, un véhicule électrique neuf pris en leasing par un client flamand ou wallon sera généralement immatriculé via Bruxelles et ne paiera qu’un montant forfaitaire d’environ 74 € de TMC (valeur correspondant au minimum bruxellois indexé). Ce fonctionnement harmonisé empêche qu’une société de leasing basée en Flandre ne puisse offrir un tarif plus avantageux qu’une société basée à Bruxelles ou en Wallonie du fait des différences de TMC. À noter que l’indexation de juillet 2024 à Bruxelles n’a pas eu d’impact immédiat pour les leasing en cours, car elle ne s’applique qu’aux personnes immatriculant un véhicule à titre privé ou aux entreprises situées en région bruxelloise.

Modalités pratiques de la TMC : quand et comment la payer ?

La taxe de mise en circulation est due une seule fois, au moment où le véhicule entre en circulation pour la première fois sous votre immatriculation. En pratique, lorsque vous achetez et faites immatriculer une voiture (qu’elle soit neuve ou d’occasion) à votre nom, l’administration fiscale de votre région vous enverra automatiquement une invitation à payer la TMC. Cela se produit généralement dans les semaines suivant l’immatriculation auprès de la DIV (Direction pour l’Immatriculation des Véhicules).

  • Quand payer ? Dès réception de l’avis de paiement, il convient de s’acquitter de la taxe dans le délai imparti (indiqué sur le document, typiquement 1 à 2 mois). Vous ne devez pas payer la TMC avant d’avoir reçu cet avis : le montant est calculé par l’administration en fonction des données du véhicule (puissance, émission, etc.) et de votre situation (région de domiciliation, éventuelles réductions). Si vous vendez ou cédez le véhicule très peu de temps après son immatriculation initiale, sachez que la taxe reste due dès que la mise en circulation a eu lieu à votre nom, même si vous ne conservez pas longtemps le véhicule.
  • Comment payer ? Le paiement se fait généralement par virement bancaire au compte indiqué sur l’invitation à payer (ou via les plateformes régionales en ligne, par exemple MyTax pour Bruxelles, ou le portail des finances de Wallonie). Chaque région gère ses propres taxes : en Flandre, c’est le Vlaamse Belastingdienst qui perçoit la TMC, en Wallonie le SPW Finances (Fiscalité wallonne), et à Bruxelles c’est Bruxelles Fiscalité. Les instructions de paiement (communication structurée, montant précis, date limite) figurent sur le document que vous recevez. Veillez à respecter ces modalités pour éviter d’éventuelles majorations ou intérêts de retard en cas de paiement tardif.
  • Cas particuliers de transfert de véhicule : la TMC étant liée à l’immatriculation initiale, vous ne devrez pas la repayer pour un véhicule déjà mis en circulation si vous conservez la même plaque d’immatriculation. Par exemple, si vous changez de voiture et que vous transférez votre numéro de plaque existant sur le nouveau véhicule, la taxe de mise en circulation n’est pas due à nouveau (elle l’a été lors de l’octroi de la plaque à l’origine). De même, si un véhicule est cédé à un membre de votre ménage (conjoint, cohabitant légal) et que la plaque est reprise par celui-ci, la taxe n’est en principe pas redevable une seconde fois. En revanche, une nouvelle plaque attribuée pour un changement de propriétaire en dehors de votre domicile impliquera le paiement de la TMC par le nouveau titulaire.

En résumé, la taxe de mise en circulation pour un véhicule électrique en 2025 dépend largement de la région où vous résidez : encore nulle en Flandre (mais plus pour longtemps), minime à Bruxelles, et variable en Wallonie suite à la réforme de juillet 2025. Chaque région vise à trouver un équilibre entre l’incitation à des véhicules plus propres et le financement des infrastructures, tout en ménageant certaines catégories de citoyens (familles nombreuses, usagers professionnels, personnes à mobilité réduite). Avant d’immatriculer un véhicule électrique, il est donc utile de se renseigner sur la réglementation régionale en vigueur pour éviter les surprises et connaître les éventuelles démarches pour bénéficier d’une exemption ou réduction de la TMC.

Table des matières

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